-
La progression de l’emploi dans les grandes entreprises et les ETI s’explique par la croissance des PME et des ETI qui changent ainsi de catégorie, mais aussi par les créations de nouveaux établissements. Dans les micro-entreprises et les PME, ce sont les établissements pérennes qui créent des emplois. Ainsi, 22 000 emplois salariés marchands supplémentaires sont créés en Nouvelle-Aquitaine de 2008 à...
-
De mars à mai 2020, le confinement provoque une chute de l’intérim, une contraction de l’emploi et le gel des embauches. Ces baisses ne se répercutent pas sur le chômage. En effet, dans cette situation inédite, les personnes renoncent à rechercher un emploi. Par ailleurs, le fort recours à l’activité partielle permet de préserver les postes des salariés malgré la...
-
La Nouvelle-Aquitaine est relativement épargnée par la mortalité liée à la Covid-19, en dépit d’une population vulnérable par son âge avancé particulièrement nombreuse. Les conditions de logement, plus favorables dans la région qu’en France métropolitaine peuvent expliquer, en partie, que l’épidémie se soit moins diffusée : davantage de maisons et moins de suroccupation, sur un territoire moins densément peuplé. Toutefois, dans...
-
Pour aller travailler, la voiture reste le mode de déplacement privilégié des Néo-Aquitains, y compris pour des trajets de moins de 5 kilomètres. Les transports en commun sont plus utilisés dans les zones fortement urbanisées. Le recours au vélo y est en hausse ces dernières années.
-
En Nouvelle-Aquitaine, au troisième trimestre, l’activité et la consommation poursuivent leur reprise entamée lors du premier déconfinement, grâce à l’accalmie estivale de l’épidémie. L’emploi bénéficie de cette dynamique (+ 1,7 %). Cependant, comme depuis le début de la crise, les disparités sectorielles sont de plus en plus marquées. Si l’activité des services marchands, directement impactés par les mesures d’endiguement (transports, hébergement-restauration) est...
-
Entre 2013 et 2018, la Nouvelle-Aquitaine, toujours aussi attractive, gagne 136 000 habitants, en dépit d’un nombre de naissances inférieur aux décès. Département parmi les plus prisés durant la période précédente, la Dordogne perd désormais de la population. La croissance démographique de la région se concentre surtout en périphérie des principaux pôles d’emplois et de population.